Elle perd tour à tour ses deux parents, assistant à l'exécution et à la découverte du corps sans vie de son père, et voyant sa mère perdre la vie, pendant leur exil.
Contrainte de devenir simple couturière à son arrivée à Paris, elle doit abandonner le monde de l'aristocratie étant sans aucun sous et avant vendu les derniers bijoux de la famille.
Elle fini par rencontrer Max lors d'une soirée au cours de laquelle elle était partie chercher sa sœur dans un bar, l'homme à tellement été fasciné, que rien que l'image de cette femme l'obsédait.
Les années passent ils deviennent amants, mais Xénia a peur, peur de se dévoiler, de parler de ses sentiments, peur de l'engagement et aussi probablement de la déception.
Elle tombe enceinte et accepte la demande en mariage d'un avocat à qui elle avait fait appel auparavant.
Par fierté ou orgueil elle ne s'est pas mariée avec Max qui pourtant éprouve de vifs sentiments à son égard.
Elle ne veut pas s'accorder de bonheur.
A travers ce livre, on découvre une femme au courage incroyable qui à partir de 15 ans porte sa famille à bout de bras, et fait tout pour qu'ils survivent.
Pendant la guerre elle accueille les enfants du premier amour de Max.
La puissance d'un amour, en période de guerre, en période ou tout est incertain, ou tout peut basculer d'un instant à l'autre.
Au fil des pages on découvre cette puissance, malgré la peur incessante de Xénia, ces deux êtres qui ne peuvent vivre l'un sans l'autre ont finis par se retrouver.
C'était incontestable
J'ai été subjuguée par les histoires qui s'entremêlent dans ce roman, par la force de ces mots et de ces descriptions, et tellement déboussolée par cette fin.
Mais un bon roman a mon sens, est un roman ou tout n'est pas rose, ou tout n'est pas monochrome.
La louve blanche va faire parti de mes livres coup de cœur.
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